Une excavatrice séduit des clients péruviens : de l’essai routier à la conclusion de la vente

2025/11/07 14:11

Au Pérou, les entreprises de construction ne se contentent pas de n'importe quelle pelle mécanique. Il leur faut des engins capables d'affronter l'air raréfié des Andes, les vents salés de la côte et la boue de l'Amazonie. Lorsqu'un groupe de clients péruviens s'est présenté à notre usine, ils n'étaient pas là pour bavarder : ils voulaient examiner la machine de près, monter dans la cabine et voir si notre mini-pelle pouvait suivre le rythme de leurs journées de travail difficiles. Qu'ont-ils découvert ? Une machine conçue non seulement pour survivre au Pérou, mais pour y exceller. Revenons sur leur visite, de la prise en main des commandes à la découverte de la manière dont ces pelles mécaniques résolvent leurs principaux problèmes.

Nouvelle pelle sur chenilles

1. Creuser : Des opérateurs péruviens prennent les commandes d'une excavatrice

L’équipe péruvienne n’était pas là pour regarder des diaporamas. Ils voulaient conduire. Alors nous avons démarré la mini-pelle de 3,5 tonnes, leur avons donné les clés et les avons laissés la tester, comme ils l’auraient fait sur un chantier chez eux.

Tout d’abord, nous avons effectué les vérifications préalables aux travaux. Nous leur avons montré comment ouvrir le capot, vérifier le liquide hydraulique (afin qu'il ne gèle pas ou ne bout pas lors des variations de température du Pérou) et serrer les boulons de chenille (critique pour les routes rocailleuses des Andes).   Ils griffonnaient des notes dans leurs cahiers : ils savaient qu'une vérification en 10 minutes pouvait éviter une panne de 10 heures au milieu de nulle part. Puis vint la partie amusante : déplacer la terre. La mini-pelle est dotée de ce système d'outils à changement rapide : passez d'un godet à un marteau à roche en moins de deux minutes. "Nous perdons des après-midi entiers à changer de pièces." Ils ont creusé des tranchées (comme pour l'irrigation à Piura), soulevé des tuyaux en béton (imitant les projets de la ville) et même brisé un tas de pierres (comme dans les mines). Finalement, ils ont ri joyeusement.

Petites excavatrices

2. Conçue pour le Pérou : comment cette mini-pelle sur chenilles surmonte les conditions climatiques et le terrain les plus extrêmes du pays.

Le Pérou n'est pas une mince affaire pour les machines. Les Andes ? L'air raréfié anéantit la puissance des moteurs. La côte ? Le vent salé corrode le métal à une vitesse folle. L'Amazonie ? La pluie et la boue encrassent tout. Nos clients péruviens voulaient savoir : cette excavatrice peut-elle survivre dans notre pays ? Nous leur avons démontré que oui.

Commençons par les hautes altitudes. Là où les mines culminent à 4 300 mètres, la plupart des pelles sur chenilles s'enlisent, perdant 30 % de leur puissance. La nôtre ? Elle est équipée d'un moteur turbo qui « respire » mieux en altitude. Nous l'avons branchée à un simulateur, avons augmenté l'altitude et demandé à Carlos de soulever un bloc de 12 tonnes. « Notre machine actuelle peine à soulever la moitié de ce poids là-haut », a-t-il déclaré, les yeux écarquillés. Cela signifie qu'il n'y aura plus de ralentissements sur les routes de montagne ou les chantiers miniers : un atout majeur pour le respect des délais. Ensuite, la rouille. La côte péruvienne, où se trouvent des villes comme Trujillo, est impitoyable : les embruns rongent le métal. En Amazonie, c'est pire : l'humidité y est si dense que les outils rouillent en une nuit. Notre petite pelle à godets utilise un acier de qualité marine, le même que celui utilisé pour la construction des bateaux. Nous leur avons montré un exemple : une pièce de pelle classique, exposée aux embruns pendant un mois, était recouverte de rouille. Le nôtre ? Toujours aussi brillant.

« Ce n’est pas juste une excavatrice, c’est une excavatrice péruvienne. » Il avait raison : cette machine était conçue pour leur monde, pas pour un chantier ordinaire.

Engins de terrassement

3. Plus qu'une simple vente : comment nous collaborons avec les constructeurs du Pérou

Les clients ne voulaient pas simplement acheter une petite pelle de 3,5 tonnes. Ils recherchaient un partenaire, quelqu'un qui serait là en cas de panne dans la jungle ou pour former leurs équipes. C'est là que nous sommes intervenus.

Tout d'abord, la personnalisation. Au Pérou, chaque projet est unique. Carlos avait besoin d'une pelle mécanique avec une flèche plus longue pour les travaux miniers. Maria, quant à elle, souhaitait un godet plus petit pour les chantiers urbains exigus. Nous leur avons montré comment adapter la machine : pas de longs délais, pas de frais exorbitants.

Ensuite, le soutien local. « Le pire lorsqu'on achète à l'étranger ? L'attente des pièces », a déclaré Carlos. « Un flexible hydraulique cassé peut paralyser une mine pendant une semaine. » C'est pourquoi nous ouvrons un entrepôt de pièces détachées à Lima, approvisionné en flexibles, filtres et dents, prêts à être expédiés.

La formation était la dernière étape. Leurs équipes sont compétentes, mais les nouvelles machines nécessitent de nouvelles compétences. « Nos gars apprennent sur le tas, mais un peu de formation ? Ça les transformera en pros », a déclaré Carlos. Nous leur avons même fourni un manuel en espagnol : fini les traductions confuses !

À la fin de la visite, ils ne se sont pas contentés de se serrer la main ; ils se sont enlacés. « Vous êtes avec nous. » Ils ont commandé trois excavatrices sur place, et prévoyaient d’en commander d’autres.

pelle mécanique de 3,5 tonnes
Si vous êtes au Pérou et que vous en avez assez des machines qui lâchent dans les moments difficiles, contactez-nous. Venez visiter notre usine, essayez une pelle mécanique et concevons ensemble un engin adapté à vos besoins. Nous ne nous contentons pas de vendre du matériel : nous collaborons avec le Pérou pour construire mieux, plus vite et plus intelligemment.


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